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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 17 Toys
il y a 1 an
Le début de cette saga est ICI Chapitre 18 : Hors de contrôle
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Le pack de six litres, grognai-je, incompréhensible à travers la culotte, le réclamant malgré les tourments que j’avais déjà subis avec.
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Désolé, répondit Nathalie. Je n’ai trouvé que celui-là. Dommage, non ? me murmura-t-elle à l’oreille, en passant derrière moi et tirant sur la corde de mes poignets pour me faire taire.
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Ça ira ! répondit Ladyscar, souffrant le mensonge de Nathalie.
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On peut enlever trois bouteilles ? proposa Valérie.
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Oui, oui, grognai-je.
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Un pack si bien emballé, ce serait dommage de le déshabiller. Et puis deux bonnes couilles comme cela, c’est du solide, ajouta-t-elle en les prenant et en les serrant.
Je sentis la cire refroidie s’en détacher. Elle en retira des morceaux, arrachant les quelques poils qui s’y étaient attachés. J’hurlai.
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S’il vous plait, implorai-je maintenant.
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Vous êtes sûres, tenta à nouveau de négocier Valérie.
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Oui. Il te remerciera même après, la rassura Ladyscar.
J’étais loin d’en être certain. J’espérai que son expérience importait. C’était la seule personne de plus de vingt ans avec plus de deux jours d’expérience dans ce domaine.
Tandis que Nathalie maintenait le pack d’eau, Valérie finissait de l’attacher.
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C’est fait dit-elle.
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Je lâche ? demanda Nathalie.
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Descends le pack doucement, lui demanda Ladyscar.
La corde se tendit brutalement, un voile noir passa devant mes yeux tandis qu’un goût ferreux de sang se mélangea aux différentes saveurs déjà dans ma bouche.
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Désolé, il m’a lâché des mains.
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Cela peut être dangereux. Cela pèse douze kilogrammes, rappela inutilement Ladyscar.
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Ce n’est pas comme si je l’avais lâché de là, dit-elle en soulevant le pack au-dessus de mon sexe.
Je le sentis lorsqu’il frappa mes couilles et ma cage et je sentais maintenant la corde qui tirait vers le haut.
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Tu vas le tuer, exagéra Valérie, enfin je croyais.
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Je ne vais pas le lâcher. Juste lui faire peur. Je m’amuse beaucoup, mais cela va avoir une fin et je voudrai être sûre qu’il ait encore envie de jouer avec moi, un autre jour, me susurra-t-elle.
Voyant que j’avais du mal à respirer, Valérie m’enleva mon bâillon-boule et la culotte.
- Je ne suis l’esclave que de Ladyscar. C’est elle qui décide, réagis-je, espérant que son comportement excessif freinerait ma dominante en titre.
Elle avait trouvé deux novices et avait générée un monstre. Nathalie reposa le pack en tension, brutalement, mais sans le relâcher. La corde s’étira à nouveau pour la seconde fois sans que je puisse éviter qu’un cri ne sorte à nouveau, cette fois de ma bouche dégagée.
- Bien sûr, répondit Ladyscar, après un peu d’attente. Nathalie et Valérie vont passer les prochaines semaines en cours à côté de toi. Ce serait dommage qu’elles ne puissent pas s’amuser plusieurs week-ends, si elles le désirent.
La douleur, l’aveuglement causé par la cagoule, m’avaient fait oublier l’école d’ingénieur, la classe, Nathalie et Valérie dont je ne pourrais plus croiser le regard sans que la honte ne vienne m’envahir. Mais en cet instant, je voulais juste qu’on me détache, les mains, la queue et qu’on m’enlève cette cagoule.
J’achèterai cet outil demain.
Je n’irai pas en cours. Je m’enlèverai cette cage et si Ladyscar envoyait ces photos à ma famille, je la poursuivrai. Ces idées, je les faisais vivre dans mon esprit pour essayer d’oublier la situation périlleuse dans laquelle je me trouvais. J’évitai de bouger le plus possible.
À bien y réfléchir, je me trouvais exactement où je voulais, au centre de mes fantasmes. Trois femmes, dont deux présentes se jouaient de mon corps. L’une d’elle, sadique à l’excès, cherchait de nouveaux moyens, plus douloureux que les précédents, de m’infliger des punitions. Je sentais qu’elle poussait de son pied le pack d’eau, lui permettant de se balancer. Derrière moi, collé maintenant à mon corps, elle m’enserrait de ses bras. Je sentais à nouveau le martinet dans ses mains. Ses lanières me chatouillaient le ventre tandis que ses mains se glissaient sans ménagement au milieu des pinces de mon torse.
Valérie avec ses ongles, détachait précautionneusement la cire qui avait refroidi sur mon sexe, sous la cage. Avec un doigt, son pouce probablement, elle excitait mon gland avant d’y remettre de la cire chaude, excitant mon sexe une énième fois.
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Une autre idée à proposer ? me demanda Nathalie.
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Sans la clé de la cage ? Non, dis-je en pensant que j’aimerai lui défoncer l’ensemble de ses trous, bouche comprise.
Avec Valérie, c’était différent, j’avais envie qu’elle me prenne le sexe à pleine main, me branle, me fasse jouir. J’avais beaucoup fantasmé sur des filles de mon école. Si Valérie en faisait souvent partie, Nathalie, avec sa timidité et des tenues plutôt strictes et sombres, n’avait jamais fait son apparition dans mes songes. Il était certain que cela changerait.
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La règle, c’est pour frapper également ? demanda Valérie.
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Oui, répondit Ladyscar. Une ceinture de cuir, une tringle de rideau, une règle, une canne, il existe beaucoup d’objets pour le faire.
Une violente douleur me frappa la cuisse, éjectant une pince qui s’était incrustée dans ma peau depuis une bonne demi-heure. Valérie mania la règle dans le but de toutes les enlever. Je criai, me retenant néanmoins d’alerter les voisins. Qu’est ce j’aurai aimé pouvoir me libérer vocalement de toute cette souffrance.
- Pourquoi as-tu les meilleures idées ? se plaignit Nathalie, m’en ôtant une autre, la tirant à l’extrême sans l’ouvrir.
Elle se détacha facilement et presque sans douleur. Je criai à nouveau juste pour lui faire plaisir. Loin de moi l’idée de la frustrer ! Une à une, elles arrachaient l’ensemble des pinces sans délicatesse. J’entendis le bruit reconnaissable de la ceinture de mon pantalon, ôtée de ce dernier. Je l’avais laissé par terre à même le sol du salon. Alternant les coups sur les fesses, les cuisses et l’arrière du dos, mon corps me brûlait de partout. Je repensai à cette douche salvatrice.
Valérie détacha le pack d’eau. Enfin. Je ne lui dis pas merci, de peur de raviver la dissension qui avait eu lieu à sa mise en place. J’aurai eu les mains détachées, j’aurai frotté mes couilles, réactiver le sang. Là, j’eus juste le droit à un bonne claque. Nathalie m’enlevait maintenant ma cagoule. Le jeu se terminait.
Je la vis enfin sous un aspect que je ne lui connaissais pas. Elle avait défait ses cheveux, enlevé son pull mais gardé sa chemise blanche en sueur derrière laquelle transparaissait un soutien-gorge simple, sportif, blanc. Elle avait remis son pantalon, sans sa culotte ; je l’avais imaginée sans. Son visage s’approcha et n’était plus qu’à quelques centimètres du mien. Elle se mordit la lèvre inférieure, tout en me griffant le dos d’une de ses mains. Mon visage se contorsionna sous la douleur. La ceinture et avant le martinet l’avaient rendu sensible.
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Alors ! Comment as-tu trouvé ces moments ? me demanda-t-elle.
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J’ai le droit de parler, voulus-je ironiser.
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Non, répliqua-t-elle. Mais tu peux baisser la tête. A partir de maintenant et jusqu’à ce que nous ne voulions plus de toi, tu es notre esclave, notre soumis. Tu aimes çà ? poursuivait-elle devant mon apathie et mon regard baissé qui lui confirmait ma dépendance.
De superbes récits...! |
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